Muse
- Hullabaloo 
 Une p**** d'énergie communicative, set-list imparable, musiciens pas manchots, bon concert |
Note globale
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 Les respirations de Bellamy, la réalisation Pullicinesque |
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Editeur
: Naïve
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Durée
totale : 2 h 10
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Image
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 Documentaire
(38 min.)DiscographieCouvertures
de magazinesMulti-angles
sur 5 titres |
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Très bonne côté définition, aucun défaut à part des lignes de parasites blancs sur la fin de Cave. Mais des effets vidéo assez foireux et un montage ultra-chargé qui risque de vous rendre fou. |
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"Enhaurme" piste DTS, dolby 5.1 un peu moins ample mais très convaincant quand même, et piste stéréo standard. Un mixage un petit peu déséquilibré du fait de la formation du groupe : parfois la guitare seule à gauche ne trouve pas de contrepoids sonore suffisant à droite. Un grand plaisir futile cependant : enfin on peut écouter les morceaux d’Origin of Simmetry débarrassés de ce son sale qui rend l’écoute de l’album si éprouvante ! |
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De nombreux extraits des 2 albums du groupe, 3 inédits. Aucune raison de faire le difficile. |
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Le documentaire n’est pas terrible, juste un caméra qui les suit, aucune interview, un petit côté « les branleurs en promo » pas bien folichon. Le multiangles est plus intéressant, et permet notamment d’apprécier l’excellent travail au piano de Bellamy sur Space Dementia. |
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À peine deux albums studio et déjà un DVD Live… Surprenant ! Au moins, contrairement à beaucoup de groupes, on n’aura aucun problème pour écouter des versions live des premiers titres de Muse s’ils viennent à faire une longue carrière, ce qu’on leur souhaite. Mais quand même… La maison de disques (indépendante) aurait-elle décider de faire fructifier sa nouvelle poule aux œufs d’or rapidement avant que le succès ne s’essouffle ? Il faut dire que s’il y avait encore besoin de prouver l’étroitesse d’esprit d’une majorité de la presse rock, Muse s’en est chargé. Un premier album encensé, un deuxième largement descendu malgré d’énormes qualités. Trop prog’ paraît-il ! Mouais... |
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Enfin, que les inconstances de certains ne nous éloignent pas plus longtemps du sujet ! Hullabaloo est un Live, un vrai ! L’ambiance est survoltée, aussi bien sur scène que dans le public, et l’on se rend compte que le choix du groupe de faire des concerts relativement courts et sans rappel était le bon. Energie brute non-stop pendant 90 minutes, durant lesquelles les trois musiciens rivalisent de puissance et de virtuosité. Matthew Bellamy, le leader, surprend par sa virtuosité aussi bien à la guitare qu’au piano. Il faut le voir assurer sans difficulté la partition folle de Space Dementia, tout en chantant en plus ! Etonnant, il l’est aussi en tenant vocalement la distance, malgré l’amplitude des mélodies à ce niveau. Il est néanmoins nécessaire de signaler un problème chez lui, un problème grave puisqu’il peut carrément dégoûter certains auditeurs du groupe (et ce ne sont pas des paroles en l’air, cela a été vérifié !) : il est impératif que Matthew Bellamy fasse quelque chose pour apprendre à respirer en chantant. C’est un défaut déjà perceptible sur album, mais qui devient intolérable en live. Après chaque phrase on a le déplaisir d’entendre une profonde et sonore respiration étranglée d’asthmatique, et à la longue c’est épuisant, on n’entend plus que ça. |
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Epuisant, c’est un qualificatif que l’on peut aussi donner à la réalisation de ce DVD. Le réalisateur accumule les effets vidéos kitsch, écran coupé en deux par exemple, et fait aussi des espèces de micro arrêt sur image des plus désagréables, donnant l’impression que le DVD plante… ! Mais bon, je chipotte. On a entre nos mains un excellent DVD d’un excellent concert, indispensable pour les fans et excellent pour découvrir Muse. |
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28 et 29 octobre 2001 - Le Zénith (Paris) |
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01.
Dead star |
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Matthew
Bellamy - Chant, guitare, piano
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Dominic Howard - Batterie |
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Chris
Wolstenholme - Basse
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PAL
