![]() Un Crescent apparaît, un artiste se réveille |
Note globale |
![]() Manque quand même un peu de titres pré-Moon |
Editeur
: Nippon Crown
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Durée
totale : 2 h 17
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Image
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Aussi parfaite que Kagen no Tsuki, même note. |
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Moins impressionnant que son prédécesseur d'un point de vue purement technique, mais plus "live". |
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Mars et Rebirth brillent encore plus par leur absence mais... Cinq titres de Crescent, quoi. |
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A nouveau des featurettes sans grand intérêt à part l'anniversaire de Gackt où le claviériste, même hors-scène, s'en donne à coeur joie. |
DDS fait place aujourd'hui à une nouvelle expérience dans ses colonnes : la chronique à suivre, ou plutôt la "chronique qui fait suite"; explication. Jôgen no Tsuki fait directement suite au DVD Kagen no Tsuki : même tournée, même genre d'artwork, même concept de base (Moon), et puis déjà rien que le nom... D'ailleurs, tant qu'on y est, cours de japonais express : Kagen no Tsuki signifie Dernier quartier de lune, Jôgen no Tsuki signifie quant à lui Premier quartier de lune. Aussi, au lieu de râbacher toutes les infos incluses dans la chronique du DVD précédent, je préfère vous inviter à aller la lire (NDBaker : Cliquez ici) puis de revenir sur cette page, tout n'en sera que plus simple et plus clair. De plus, ces deux concerts formant un ensemble, acheter l'un sans l'autre tient de l'hérésie, alors tant qu'à faire, autant s'informer sur les deux, c'est-ce pas ? |
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Deuxième
paragraphe, j'en déduis que vous savez tout sur Kagen no Tsuki,
entrons donc directement dans le vif du sujet. Côté technique,
rien n'a changé. Il s'agit toujours d'un double DVD, pas plus rempli
que le précédent, mais qui compense par son excellence.
L'image est identique, donc parfaite, le son de son côté
a par contre quelque peu changé, traquant sa vertigineuse démonstrativité
contre un son plus "live" qui gagne en authenticité ce
qu'il perd en pure technique.
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Côté mise en scène, là encore on retrouve la même qualité. Toujours impressionnant, toujours millimétré, toujours grandiloquent, même partie "rocker" ridicule mais plus émouvant sur le final (on y reviendra). Preuve flagrante aussi que Gackt ne se moque pas de son public, hors de question pour lui de ressortir à l'identique ses prestations. Ainsi à morceau équivalent, Lu:na par exemple, la chorégraphie change; pas forcément fondamentalement, mais les différences sont visibles, donc suffisantes. Comble du plaisir, le mur d'eau de Rain est toujours là, rhâââh mais comment ça marche ?! |
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Mais
alors, qu'est-ce qui a changé en fait ? Tout ! Un tout qui porte
un nom : Crescent. 4ème album de son auteur, le meilleur depuis
Mars sans le bout de millimètre de l'ombre d'une contestation possible,
au moins aussi bon que son illustre aîné (ce n'est pas peu
dire), Crescent n'était pas encore sorti dans le commerce au moment
où a été filmé ce DVD, mais peu importe, les
cinq titres qu'il a glissé dans ce concert suffisent à marquer
ce dernier de son empreinte, en tirant vers le haut la totalité
de la prestation. Adieu le côté poussif d'une setlist trop
marquée par Moon, adieu les deux années d'incertitudes sur
la capacité de Gackt à nous offrir à nouveau un album
digne de lui. Et tant pis si Soleil nous impose à nouveau son indésirable
présence, puisqu'à peine deux titres plus tard les gros
riffs à pédales wah-wah de Kimi ga Oikaketa Yume viendront
nous nettoyer les oreilles.
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Autre merveilleuse surprise, l'interprétation au milieu du spectacle d'un à priori obscur morceau de piano solo répondant au nom de Solitude ~ Regret ~, qui s'avère être, à l'écoute, une suite / variation du morceau Regret, autre piano solo écrit par Gackt à l'époque de... Malice Mizer (intitulé aussi Regret et dispo en face B du single Ma Chérie ~ Itoshii Kimi He). Enfin, quoi de mieux pour finir à la fois ce concert et toute la période du concert Moon que de faire venir sur scène, le temps d'un dernier morceau, les acteurs du film Moon Child ? Rien. Et celà donne Orange no Taiyô (titre qui rend beaucoup moins bien écrit en alphabet occidental mais bon...en tous cas ça veut dire Soleil Orange), petit bijou d'émotion et de musique orientée prog'. Oui, prog. Quand je vous disais que Gackt était un paradoxe vivant ! |
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Juillet 2003 - Yokohama Arena (Japon) |
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01.
Noah 06.
Solitude ~ Regret ~ 10.
Missing 17. Birdcage 18. Orange no Taiyô |
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Gackt
- Chant, piano, "Syo"
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You - Guitare, violon |
Yukihiro
"Chachamaru" Fujirama
- Guitare
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Ren - Basse |
Ryuichi
Nishida - Batterie
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Jun'ichi "Igao" Igarashi - Claviers (hors-scène) |
Kanata
Hongô - "Little Syo"
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Wang Leehorn - "Sun" |
Zeny
Kwok - "Yide"
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Tarô Yamamoto - "Toshi" |
Hyde
- "Kei" (voix seulement)
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Yosh,
Mark, Nabe, Shiba, Ega, Tozawa, Hayashi, Taka, Takashi, Kazuya - Danse
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